Dans les couleurs et les formes, dans les
caniveaux et les corniches.
Ils sont là, sans qu’on le sache et il suffit
d’un reflet dans la vitre ou d’une lumière rasante au coucher du soleil pour voir
apparaitre un bout du museau ou une
pointe de moustache.
J’en ai vu deux hier et puis deux encore ce
matin.
Mais à peine entrevus, ils s’effilochent et se
brouillent dans l’eau trouble des flaques.
Gontrand Larature
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